ovin- mesures de la biosécurité- maladies
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Date
2015
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Publisher
Université Mohamed BOUDIAF de M'Sila
Abstract
L’élevage des petites ruminants a une grande importance pour les pays méditerranéens en raison notamment du nombre de moutons et chèvre, dont les effectifs représentantes respectivement 13et10% de cheptel mondiale, les problèmes sont souvent reléguées au seconde plan et par voie de conséquence leurs répercussions économiques difficile à apprécier (Blajan., 1984).
Les avortements sont des pathologies anciennes et persistantes en élevage ovin. Tous les élevages, quel que soit leur type de production, connaissent des avortements. (Picoux., 2011).
Elle se définit comme la perte d’un fœtus à n’importe quel moment de la gestation. la période fœtale s’étend de 34 jours à la mise bas chez les petits ruminants. La brebis et la chèvre sont toutes deux considérées comme des femelles très fertiles, mais des taux d’avortements comparables aux autres espèces sont cependant aussi présents. On considère comme normal chez la brebis, un taux d’avortement de 2 à 5% comme bon, et de moins de 2% comme excellent, Lorsque des avortements tardifs surviennent dans un troupeau avec une incidence élevée (généralement plus de 5%), l’éleveur s’alarme et cherche à en réduire l’impact par tous les moyens dont il dispose.
Parmi toutes les causes d’avortements, celles d’origine infectieuse sont les plus redoutables parce qu’elles sont contagieuses et douées d’un grand pouvoir de propagation au sein et parmi les élevages. Ce sont des maladies souvent difficiles à combattre en raison des échecs thérapeutiques. De plus, elles sont persistantes par le biais d’animaux porteurs asymptomatiques et excréteurs. Par ailleurs, ces infections abortives sont parfois transmissibles à l’homme comme la brucellose, la chlamydiae, la fièvre Q, la listériose, la campylobactériose dont certaines sont particulièrement dangereuses pour la femme enceinte et les personnes présentant un déficit immunitaire. (Guerin., 2004).
Les résultats qui doivent mettre en exergue les démarches à entreprendre pour éclairer sur la prévalence des avortement ovin dans la wilaya de M’sila.
Ce mémoire comporte deux grandes parties :
La première partie est une étude bibliographique sur les principales causes d’avortements, épidémiologie, les différentes méthodes de diagnostic des maladies abortives Direct et indirect, les méthodes de la lutte contre les agents pathogènes et les facteurs de transmissions et contamination de l’environnement et des élevages voisins ainsi que le risque de transmission à l’homme sont exposés.
La deuxième partie est une étude expérimentale contient les éléments suivant :
1. présentation des régions d’étude avec l’effectif des cheptels ovins dans la région.
2. le taux d’avortement a partir les résultat de notre enquête.
3. l’Age de brebis avortées.
4. l’effet d’alimentation et le mode d’élevage sur l’avortement.
5. les pathologies plus fréquentes dans la région.
6. et le dernier élément c’est l’effet de mixité d’élevage sur l’avortement
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Keywords
ovin- mesures, la biosécurité- maladies