Errance de fuite chez boualem sansal et maissa bey dans « harraga » et « surtout ne te retourne pas »
| dc.contributor.author | METERFI Fatima Ezahra | |
| dc.date.accessioned | 2020-12-09T08:21:02Z | |
| dc.date.available | 2020-12-09T08:21:02Z | |
| dc.date.issued | 2020-06 | |
| dc.description.abstract | La situation féminine délicate vécue dans les années 90, imposée par un fait historico-politique et un contexte socioculturel spécifique et propre à l’Algérie, cache une réalité sociale pesante suite à des restrictions imposées par la société. Pour cela, il était évident de déchiffrer le mystère dans notre corpus composé des deux oeuvres romanesques de la littérature algérienne : « surtout ne te retourne pas » et « Harraga » qui accrochent et interpelle la curiosité du lecteur sur le traitement du détournement et le renversement d’une fuite constructive à une fuite destructrice. Pour l’expliciter, nous montrerons le rôle de l’errance dans la construction de l’identité individuelle et collective des personnages ainsi qu’à la ligne de fuite comme moyen de déterritorialisation pour se sauver ou s’autodétruire. Ainsi, pouvoir expliquer le rapport entre fuite et errance dans le but de se soulager et se libérer des contraintes oppressives de la société ; en se détachant de ces restrictions à travers le contenu des deux oeuvres celui de Maïssa Bey et de Boualem Sansal. Pour bien mener cette étude, on s’est appuyés sur la notion de l’errance et les lignes de fuite perçues par Deleuze en les appliquant sur les protagonistes des deux histoires. | en_US |
| dc.identifier.uri | https://repository.univ-msila.dz/handle/123456789/21920 | |
| dc.subject | Restrictions, renversement, l’errance, fuite constructive, fuite destructrice, déterritorialisation, s’autodétruire | en_US |
| dc.title | Errance de fuite chez boualem sansal et maissa bey dans « harraga » et « surtout ne te retourne pas » | en_US |
| dc.type | Thesis | en_US |